Notre Joffre
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Joffre, Marne,
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Notre Joffre, texte d'Emile Hinzelin
Les inspections du grand chef
Deux souvenirs de la guerre
par le Maréchal Joffre et le Maréral Foch
Joseph Joffre, 1852 - 1931
Joffre, Colonel 1896
Le panorama de la guerre, 18 mars 1915
Le 2 août 1914, Joffre prend le commandement des armées du Nord et du Nord-Est. Après avoir perdu la bataille des frontières, il redresse la situation en donnant, le 25 août, son ordre mémorable de retraite stratégique, qui évite l'encerclement et permet de concentrer de nouvelles forces au nord de Paris en vue de lancer la contre-offensive. Celle-ci se développe par toute une série de manœuvres qui aboutissent à la victoire des Franco-Britanniques au terme de la bataille de la Marne (6-13 septembre).
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Article publié dans Ouest-Eclair, le 2 Novembre 1914
Bataille des Frontières : Joffre affronte le Kaiser, 10 Novembre 1914
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Bataille de la Marne Sept 1914
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http://1914ancien.free.fr/bataille marne1.htm
On l’appelait Sauveur du monde, Père de la patrie, Exécuteur des œuvres de Dieu, Bienfaiteur de l’Humanité, etc.
Pourtant de 1914 à 1916 où il fut chef d'état major des Armées Françaises, il y eu des milliers morts.
- 1914 : 2000 morts environ par jour.
- 1915 : 1000 morts environ par jour.
- 1916 : 700 morts environ par jour.
Nous progressons disait le Père de la Patrie, mais à quel prix !
En décembre 1916, il est remplacé par le général Nivelle, mais élevé en échange au rang de Maréchal le 25 décembre 1916.
Après la guerre il entre à l'Académie Française, fauteuil 35 de 1918 à 1931.
Le Petit Journal, 29 décembre 1918
Le Miroir, 13 Décembre 1914
Page 281 des Carnets de guerre de Louis Barthas, tonnelier 1914-1918
Visite de Joffre, 3 mai 1916 au régiment de Louis Barthas
Le Miroir, 5 Décembre 1915
Le Miroir, 25 Avril 1915
L'Illustration, 28 12 1918
Joffre vu par les cartes postales
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Joffre vu par les cartes humoristiques
F. Philippi. La poigne de Joffre, 1914. Mobile en carton.
Crayon, gouache, aquarelle. H. 21,3 ; L. 15 ; P. 5 cm. Nanterre
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Le 10 mai 1917, la ville de New-York offre à Joffre
une réduction de la statue de la Liberté
due à Auguste Bartholdi.
Les 27 et 28 avril 1917, Joffre et son équipe présentent un programme précis des grandes lignes de l’intervention américaine à l’état-major américain. Le maréchal rencontre le président Wilson le 2 mai, ce dernier ayant donné son accord de principe. Pendant que les officiers de la mission et l’état-major américain règlent les derniers détails avant la signature de l’accord, Viviani et Joffre entreprennent une tournée triomphale des principales villes des États-Unis.
Joffre vu par les journaux
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Joffre : autres produits
Anonyme. Joseph Joffre, s.d. Statuette en mie de pain, tissus, cuir, bois.
H. 14 ; L. 7,5 ; E. 6 cm. Paris,
musée de l’Armée. Inv. 19195 C1,
don Mme Jacques Pilpoul, 1964
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