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Grande Guerre : territoriaux bretons et normands du 87 DIT
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13 janvier 2015

Barbarie allemande

Mots-clés :

barbarie, cartes postales, journaux, Edith Cavell, L'Anti-Boche illustré, massacre, Dinant, cruauté, La Ligue Souvenez-vous !, Le Barbare, Le Rire Rouge, atrocités, Life, Kultur, barbare, Allemagne, mains coupées, violences,

Lire les articles :

La kultur allemande

Eux et nous, 1914-1915

Le livre rouge des atrocités allemandes

La main coupée de Cendrars

Edith Cavell, héroïne de guerre

Violences contre les civils

 Avis aux civils

Cruauté all1

Cruauté all2

Cruauté all4

Cruauté all5

 atrocité all l'image

L'Image de la guerre, mai 1915

 Le petit Lournal les vandales1

 Le petit Journal vandale

 Le miroir babarie all

Le Miroir, 22 août 1915

 Le Cri Bon cosaque

Le massacre de Dinant, 23 Août 1914 

Massacre de Dinant1

 Frans Huygelen, fonderie natle des bronzes 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/Dinant

http://www.dinant.be/patrimoine/histoire-dinantaise/sac-du-23-aout-1914

  Porte drapeau de la nation all

 souvenez vous

Cruauté all Henrio

Les Annales, 20 Février 1916

 Crimes all souvenez-vous

Souvenez vous1   Souvenez vous2

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6557205q.r=crimes%20allemands

justice leurs crimes

Souvenir français

crimes des all

Vigilance et souvenir

1918, imprimerie Moncy

Aff alliance universelle

1918, imprimerie Arts-Graphiques

 Crimes all1

Crimes all3

Crimes all5

Crimes all7

Crimes all8

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5455364v.r=crimes%20allemands

Barbarie à travers les cartes postales 

Barbarie14

 Ou sont les français ?

Barbarie3   Barbarie8

 Carte Illustrée des frères Clérice 

Barbarie5   Barbarie2

 marthyr guillaumeII      kultur allem

 the great war     the great war justification

  unis contre les barbares

Carte illustrée de Maurice Pepin

Barbarie12

DSC_1881    DSC_1882

DSC_1878    DSC_1872

Kultur boche

Barbarie18

Carte illustrée de R. Bataille

DSC_1876    DSC_1939

Scott facon de faire la guerre

 unnamed

Dessin de Poulbot

Heureusement que mon paletot est trop grand,

ils n'ont pas vu mes mains.

  Atrocité all2

 Atrocité all1

 Atrocité all4

 Abel Faivre, « Ma maman… », lithographie, 1915.

On image une scène de viol. Le violeur est absent du tableau. Il est représenté par son casque à pointe et son sabre est présent sur le fauteuil.

Il y a eu lutte, vu l'état des meubles renversés.

Atrocité all3

Jean-Louis Forain,

« En esclavage : Là-dessous ?… C’est la fille d’un notaire. »,

lithographie reproduite en feuille volante et en carte postale, 1915.

L’Allemand pillard exploite la population civile

qui ploie sous le joug de sa brutalité. 

Otages civils 1915

Théophile-Alexandre Steinlen, « Otages civils », lithographie, 1915.

Cortège de vieillards, de femmes (dont une enceinte) et d'enfants sur la route de l'exil.

Le mythe des mains coupées

Cri de paris main coupée

Le mythe des mains coupées

Poulbot les mains coupées

Dessins de Poulbot

Voir les liens :

https://www.les-crises.fr/le-mythe-des-mains-coupees-par-les-allemands-pendant-la-premiere-guerre-mondiale/

Les mains coupées

léandre livre rouge9

Kultur viol

1919, 5 millions d'Américaines signent une pétition remise à Clemenceau, demandant de mettre un terme à l'acceptation des viols en temps de guerre.

Kultur au printemps, xylographie de René Georges Herman-Paul

Barbarie à travers les journaux

 Atrocité all7

Henri-Gabriel Ibels, Sans titre, reproduit dans le recueil La Grande Guerre et les artistes,

Paris, Berger-Levrault et Georges Cres, 1915, p. 11.

L’empereur est nu, sans outrance caricaturale trop marquée, ce qui confère un réalisme exacerbé à cette vision de mères éplorées ou d’enfants mutilés exhibant leurs moignons. 

  Poulbot Cawell

 Paul Iribe, « Edith Cavell : Parfait : tu n’étais encore que déshonoré… »,

La Baïonnette n°41, 13 avril 1916, p. 236-237, double page intérieure.

 

 

Lubin de Beauvais, « Choses vues : Le chemin de la gloire. [dédié] Aux neutres »,

La Baïonnette n°9, 16 janvier 1915, p. 7.

L’image est assortie de la mention suivante : « Ce dessin a été exécuté par notre collaborateur sur un croquis, d’après nature, qu’il a pris aux abords d’un village de la Marne, après le passage des Allemands, au mois d’octobre. »

A l'arrière plan, l'incendie de la Cathèdrale de Reims.

Atrocité all104

 Louis Raemekers, artiste néerlandais. 

« Leur Kultur ! (Paisibles bourgeois, femmes et enfants assassinés par les bombes des taubes et des zeppelins à Nancy, à Paris, à Hazebrouck, à Varsovie.) »,

 

 

La Baïonnette n°32, 10 février 1916, p. 89.

Cette illustration est la premiere à dénoncer l’horreur de cette nouvelle façon de porter la guerre, au-delà des lignes de front, sur les populations civiles : le bombardement.

Atrocité all9

Alexandre Roubille, série « La Marseillaise ».

Vue n°5 : « Ils viennent jusque dans nos bras égorger nos fils, nos compagnes », reproduit dans le recueil La Grande Guerre et les artistes, Paris, Berger-Levrault et Georges Cres, 1915, p. 18.

  Atrocité all8

Adolphe Willette, Sans titre, planche reproduite dans le volume Sans Pardon !,

Paris, Devambez, 1916, p. 23.

Ce dessin représente la torture d’un vieillard et évoque irrésistiblement le souvenir  des « chauffeurs du nord » du siècle précédent. La caricature n’est jamais loin des peurs ancestrales.

Excelsior 27 04 1916

 Le calvaire allemand

 Kultur allemande

 Attrocité all100

 Le Petit Parisien barbarie

Le Petit Parisien barbarie4

   Le Petit Parisien barbarie2   Le Petit Parisien barbarie3

 L'abeille barbarie

L'Anti-Boche

 L'anti-boche atrocité all4

 Clérice, « Les assassins : Attendez, attendez ! Il manque les enfants !… »,

L’Anti-Boche illustré n°5, 20 mars 1915

 Le rire Poulbot5

  L'anti-boche Poulbot1

 Francisque Poulbot, « C’était là, notre maison… »,

L’Anti-Boche illustré n°35, 25 octobre 1915, couverture.

C'est une évocation de la dévastation des territoires ayant accueilli des combats, cette fois vue par l’œil de l’enfance.  

Le caractère esseulé de ces enfants errants suggère en effet la disparition des parents. Ce type de scène constitue l’indice d’un pessimisme montant, le conflit s’étant dorénavant installé dans la durée.

Le Rire Rouge

 

 

Le Rire rouge n°22, 17 avril 1915

Le rire atrocitéall1

 Adolphe Willette,

« La discipline allemande se relâche :

Ne pourrais-tu pas mettre les mains dans tes poches, pour saluer ton officier ? »,

 

 

Le Rire rouge n°11, 30 janvier 1915.

L’Allemand est un massacreur en action. 

Le rire 07 08 1915

 Le Rire rouge, N°38 du 07 août 1915

Les bébés et les fleurs sont aussi les victimes de la faulx allemande.

Le Petit Journal

 Le Petit Journal les vandales

 Vandales explication

  Le Petit Journal Arras

 Le Petit journal 11 1914

 Le Petit Journal vandales2

 Le Petit Journal 10 1914

 4.500 civils belges furent exécutés d'août à septembre 1914.

A Louvain, on compte 248 civils tués, 1/6 des bâtiments détruits dont l'université.

Le Petit Journal 12 1915

Le Petit Lournal 12 1915 atrocités All

Le journal Life

Life arretez ce spectacle

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Les caricatures

Caricature barbarie All

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 It Was Military Necessity

Le barbare

Le barbare1

Le barbare2

Le barbare3

Le barbare8

Le barbare10

Le barbare5

Le barbare6

 Voir le lien :

 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327099893/date

le dieu thor

 Image d'Epinal

Le jour viendra, hélas !

THOR se dressera avec son marteau gigantesque

et détruira les cathédrales gothiques.

Les vieilles divinités germaniques se léveront de leurs tombeaux fabuleux

et essuyeront de leurs yeux la poussière séculaire.

  

 

Le Passage des Barbares de Compiègne à Beaulieu-les-Fontaines 

IMPRESSIONS DE VOYAGE, Dédié à M. NOEL, Sénateur, Maire de Noyon 

Au sein du sol natal, j'ai promené ma lyre, 

Hélas, ces lieux riants, si jolis autrefois, 
Souillés par les bandits, sans honneur et sans foi, 
Sont des ruines ! Alors ! prise d'un noir délire, 
J'ai brisé mon luth, et de l'ivoire sacré, 
J'ai jeté les débris au vent et j'ai pleuré, 
Des habitants de mon pays, le long martyre ! 
Mes yeux cherchaient en vain, la gare à Ribécourt 
Elle n'existe plus ! Les Huns, l'ont démolie ! 
Et les arbres fruitiers, pleins de sève et de vie, 
Ont été mutilés, sciés en tronçons courts ! 
Mêlés aux fils de fer barbelés des barrages 
Qui sillonnent la plaine, en tous sens avec rage, 
Les vandales ont fui, en saccageant toujours, 
De la gare à Noyon, il n'y a plus de trace ! 
Pas même une pierre, marquant l'emplacement, 
Et l'on descend du train, dans la plaine, en plein champs. 
Les terres incultes forment un vaste espace 
Offrant au spectateur, l'image d'un linceuil, 
C'est une vision de douleur et de deuil, 
Qui se déroule ici, au voyageur qui passe ! 
Le canal saboté, détruit par les barbares, 
Provoqua alentour, une inondation. 
Et la place du cours, merveille de Noyon, 
Gluante et embourbée, ressemble à une mare ! 
Le pont du canal gît avec ses fers tordus, 
Dernier vestige, hélas, de cette oeuvre superbe, 
Dans les bois dévastés, par le feu des obus, 
Dorment nos fiers martyrs, étendus sous les herbes 
Que de tombeaux épars, et que de disparus 
Ont trouvé le trépas, fauchés par la mitraille, 
Sépulcres de héros, qu'on trouve à chaque pas, 
Dans la plaine fumante, encore de la bataille, 
Qui vous fait tressaillir et s'incliner bien bas ! 
Gloire à Monsieur Noël, de Noyon, digne maire, 
Honneur au sénateur, homme de caractère. 
Qui gravit un calvaire en sa captivité, 
Et subit, stoïque, l'affront immérité ! 
Les boches ont construit plus loin, un pont en planches 
Pour pouvoir traverser le canal à leur gré. 
Mais nos soldats tombant sur eux en avalanche, 
Ils ne l'ont pas détruit, mais ils ont détourné 
La route allant à Roye, empoisonné les sources ! 
Combien de malheureux, ont été fusillés 
Pour avoir protesté, vieillards, de leurs voix douces, 
Contre leur vandalisme, et leurs atrocités ! 
J'arrive à Gredinville, il n'est plus aucun site, 
De ce joli hameau et partout le gazon, 
Recouvre des ruines, historiques, qu'on cite. 
Ça et là, des pierres, remplacent les maisons ! 
Jusqu'à Ecuvilly, on retrouve les traces, 
Du passage des « Huns» qui se sont acharnés, 
A détruire et piller ! Cette maudite race, 
A chassé des maisons, les vieillards apeurés 
Allumant l'incendie, en y jetant leurs bombes ! 
Ainsi la Pharmacie de Beaulieu a brûlé. 
Les sauvages ont fait descendre dans la tombe, 
Le docte praticien, qu'ils ont martyrisé 
Ah ! Qui dira jamais, les sinistres tortures, 
Qu'inventaient à plaisir, les germains en ces lieux, 
Lorsqu'ils démolirent ces fruits de la « Kulture », 
La pauvre Église, hélas, frappant au nom de Dieu ! 
Il offre maintenant un aspect lamentable, 
Le pauvre presbytère, et le clocher tombé, 
Tout droit ! sur lequel les coqs y sont restés stables, 
Et l'intérieur pillé, souillé, détérioré ! 
L'harmonium brisé, gît là, dans une hutte, 
Bien que leurs mains d'esclave aient touché bien souvent 
L'instrument réservé, aux besoins de leur culte 
Du Dieu de Germanie, incarné en Satan. 
Et les pauvres débris de la petite église 
Servent au cimetière érigé par les Huns. 
Trois cents tombes au moins, où sur les croix se lisent, 
Les noms des ennemis, restés sur le terrain ! 
Plus loin, des puits profonds, creusés dans plusieurs rues, 
Pour les faire sauter ! Un large trou béant, 
A fait place aux maisons démolies, abattues ! 
Les fermes sont rasées, par les vils mécréants ! 
Les barbares chassant les vieillards de l'Hospice, 
En prirent possession. Les pauvres malheureux. 
Burent jusqu'à la lie, cet effrayant calice, 
D'un révoltant cynisme, et de crimes affreux ! 
Partout aux alentours, les gares sont brûlées
Et les rails enlevés ! Où es-tu, tortillard ? 
Petit chemin de fer, qui m'as tant amusée. 
Lorsque j'étais enfant, par ton cri nasillard ! 
Les terres incultes, ont l'air d'un cimetière. 
L'herbe haute chemine avec les fils de fer. 
Et les grands trous béants, des bombes meurtrières, 
Attestent la fureur des bandits du Kaiser ! 
Combien la plaine est morne, hélas, en ces campagnes, 
C'est la destruction, la ruine des pays, 
Eh bien, regardez là, jeunes fils d'Allemagne, 
Vous qui la bombardiez, sans grâce, ni répit. 
Elle vous est fatale, ayant gardé sa gloire, 
Maintenant libérée par nos vaillants efforts, 
Encor que mutilée, emporte la victoire, 
Comme le Cid raidi glacé, terrible et mort 
Elle semble dire : Français ! frappez leur race, 
Entendez le signal, Combattants, combattants ! 
Roland le Comte sonne, et son souffle qui passe, 
Nous dit « Français, frappez, c'est mon commandement ! 
Pour perpétuer la haine du Boche. 

                                                             31 Mars 1917, M. Noël

Lire le document :

Les mains coupées 

Hermann Paul les mains

Voir les liens :

https://www.les-crises.fr/barbares-ogres-et-assassins-la-propagande-anti-allemande-dans-les-cartes-postales/

http://www.arquebusiers.be/1914/atrocites_allemandes%20_belgique.pdf 

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